Journal de Fabrice

Aller au contenu | Aller au menu | Aller à la recherche

dimanche 30 décembre 2007

Reprise crispée

Le temps à Lyon ne motivant pas à sortir en vélo (ce sont plutôt les saleuses qui sont de sortie !!), je tente de sortir en CAP. Aussi pour tester ma cheville.

Dès les premières foulées, je sens une très légère douleur. Surtout lors des changements de direction vers la droite. En montée : nickel, je ne sens rien. En descente : je me retiens, marchant presque. Bref, j'aurai fait une sortie crispée, retenant mes appuis.

Un parcours vallonné et goudronné dans mon quartier de 8,3 km et 150mD+ en 50' pile et FC 150 bpm (un peu élevé).

Bon réveillon à tous !

samedi 29 décembre 2007

Col de Malval en test

Encore du vélo malgré le froid. Avec mon vélo de route cette fois.

Je pars au soleil mais le ciel se voile. Direction le col de Malval pour tester ma forme.
Qui finalement est correcte, puisque j'améliore mon meilleur temps pour monter les 8,4 km et 425m de montée de ce col (depuis le pont Pinay enjambant l'Yzeron). Le temps : 29'12".
Le cardio affiche quand même 170 bpm (89%) sur la montée.

Au total, un parcours vallonné de 50 km 900mD+ en 2h03 FC 149 bpm.-> le parcours est ici.


Avant hier, une sortie en velo de route de 36 km, 1h30 dans la plaine vallonnée valentinoise.

jeudi 27 décembre 2007

vtt pour compenser

En ces fêtes, ne pouvant courir, je fais quelques sorties de VTT.

Pas très longues étant donné le froid et ma tenue peu adaptée, mélangeant petites routes et chemins bien gras à Crest et Die :

  • dim. : 13 km 240mD+ 40'
  • lun. : 20 km 285mD+ 1h
  • mer. : 20 km 385mD+ 1h10'

Montée au Pas de la Roche :

Montée au col de Romeyer, face au Glandasse:

Au col du Romeyer, belle vue sur le massif du Glandasse et ses falaises:

samedi 15 décembre 2007

L'astragale

L'astragale est un joli nom, d'une jolie plante (astragalus).

L'astragale est aussi un os, au niveau de la cheville, aussi appelé Talus. Grosso modo, il fait la jonction tibia, péroné, pied.

Tout ça pour dire que mon astragale droite est enflammée, dixit le docteur. Et que le traitement est assez simple : pas de sport porté (course à pied, ski, etc..) pendant quelques semaines jusqu'à ce que la gêne ait totalement disparue.

En effet, j'avais bien récupéré après la STL, et le jeudi je suis rentré chez moi en courant. Petite douleur à la cheville. Vendredi je re-cours 10 km plat, et ça devient vraiment génant. Depuis sans courir, comme l'appui me faisait mal, j'ai fini par allé voir mon médecin du sport, qui a immédiatement identifié le coupable par une pression bien localisée (aie !).

A moins de faire un peu de natation ou de vélo, ma saison 2007 est ... terminée.

Alors, bonnes fêtes à tous mes lecteurs !

dimanche 9 décembre 2007

Col du Sabot

J'étais en montagne dimanche. 800m de dénivelé en ski de rando, au Col du Sabot, près de Vaujany. Pluie sur la route, accalmie au départ, flocon à la montée, une trouée ensoleillée au sommet pour découvrir un magnifique paysage de montagnes platrées. Et bien sûr, neige poudreuse dans la descente.

Voici quelques photos :

samedi 8 décembre 2007

Break

Après une bonne année 2007 de course à pied, je m'autorise une vraie pause.

Pas d'objectifs en tête, ni de plan d'entraînement. Je vais me contenter de sortir à l'envie et passer les fêtes tranquille

En attendant d'avoir de nouveau des fourmis dans les jambes...

;)

dimanche 2 décembre 2007

Saintélyon - ma première

  • Cette année je me suis lancé en solo sur cette fameuse Saintélyon. 69 km à parcourir et 1300m D+.
  • Départ à minuit, nous sommes 4400 solos !! Pas de pluie, mais il a beaucoup plu toute l'après-midi. L'ambiance est magique. Au départ, je me force à courir ducement, mais malgré tout le cardio est plutôt à 78% qu'à 72-76% qui était mon objectif. Arrivent les premières côtes sur la route, je marche un peu, puis dans les chemins. Là c'est une autre histoire : la boue est omniprésente, soit se collant aux chaussures, soit rendant la foulée glissante.
  • Je passe à St Christo (15,5 km) en 1h49'52" (temps officiel) et 1841e. Pile dans mon plan (1h50), mais avec une FC un peu élevée : 81% (155 bpm). Je m'arrête 2 minutes au ravitaillement le temps de remplir ma gourde et d'attraper du pain d'épice.
  • Ensuite, le parcours étant majoritairement composé de chemins, la boue est très génante. Et malgré le maintien de l'intensité dans l'effort, la vitesse baisse franchement. Au ravitaillement du Moreau (22,5 km), je prends quelques carreaux de chocolat. Plus loin, à Ste Catherine, je suis 1762e en 3h24', soit 9' de retard sur mon plan. FC 79%. Arrêt de 2 minutes au ravitaillement pour remplir la gourde (1 litre).
  • Jusque là, la météo est clémente avec même la pleine lune qui nous accompagne. Devant et derrière, un serpent lumineux dévoile l'itinéraire. Et au loin les lumières de St Etienne, puis de la vallée du Rhône. La température est proche de zéro, avec un vent très faible sur les crêtes. Je cours avec 2 couches, gants et bandeau sur les oreilles ; parfait.
  • Les quelques km après Ste Catherine sont encore assez boueux. Puis nous passons dans le bois d'Arfeuille, finalement pas si glissant. Enfin nous retrouvons la route à St Genoux (36,5 km). Là je ne m'arrête pas au ravitaillement (trop le bazar et j'ai encore de quoi boire et une barre de céréales dans le sac). 4h31 soit 20' de retard. FC 81%.
  • Ensuite, après la côte (dans laquelle je sors le MP3 du sac et continue en musique sachant la suite moins exigeant en terme d'attention) et , la longue descente vers Soucieu. Je suis sur mes terres, je connais le parcours par coeur et, sur cette majorité de bitûme, j'arrive bien à dérouler. A Soucieu (45,5 km), je pointe 1276e en 5h25, FC 82%. Le retard n'est plus que de 16'. Long arrêt au ravitaillement (8') pour discuter avec Gérard qui a abandonné à Ste Catherine (douelur à la cheville) et faire le point sur le relais de mes collègues avec qui je devais terminer. Mais apparement, ils sont loin derrière, alors je file.
  • Encore en secteur connu : descente vers le garon, passage de la passerelle, remontée au centre équestre de Chaponost.Puis moins connu mais dans les rues plates de Chaponost. Passage dans les chemins du parc, une montée un peu boueuse et nous voilà à redescendre vers Beaunant. Passage en 6h48. Retard 23'. Je saute encore le ravitaillement et puise dans les réserves de mon sac à dos.
  • Ensuite c'est la raide et longue montée sur Ste Foy lès Lyon. Pas de stress : je marche sans trop forcer pour me détendre un peu après autant de descente. Au sommet de Ste Foy, nous passons le panneau Arrivée 10 km. C'est motivant. Descente sur Lyon. On longe les quai de Saône, sur des pavés, avec passages de rampes et escaliers.A Bellecour, il reste 6 km. Je laisse encore le ravitaillement.
  • Je continue à boire régulièrement mais mange assez peu. Au bout du pont de la Guillotière, il reste 5 km. Là je commence à piocher sérieusement. Je me force à courir. L'envie de marcher est très forte. Je cède, 2 ou 3 fois durant 2 minutes. Sur les quais, c'est long et monotone. Les ponts se succèdent. Enfin les abords du Parc de la tête d'Or. Je cours à plus de 7'/km mais cours quand même.Enfin on voit la banderolle. J'accélère à peine. Lève les bras, épuisé mais heureux de passer la ligne et d'enfiler le beau maillot FINISHER.
  • Temps officiel : 8h12'15" - 968e, et 374e V1
  • Pour info FC moyenne 78% (149 bpm).